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 le journale de la coupe du monde !

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chris-83
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chris-83


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Sport : le journale de la coupe du monde ! 090216013547366343
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MessageSujet: le journale de la coupe du monde !   le journale de la coupe du monde ! EmptyMar 9 Oct - 10:43

retrouvé les nouvelles réactions des bleue dans cette partie !!


dusautoir une nouvelle page s'ouvre ...

« Au départ la Coupe du monde en France, c'était une histoire entre mon canapé et moi. Et puis Elvis Vermeulen s'est blessé. Quand j'ai été appelé, j'ai su de suite que j'aurais ma chance ». Comme il l'explique dans Rugby Hebdo, publié lundi, Thierry Dusautoir, 3e ligne toulousain, n'a pas manqué de la saisir comme il a saisi, plaqué et même « foudroyé », les joueurs néo-zélandais, samedi sur la pelouse du Millennium de Cardiff. 29 plaquages réussis sans en manquer un ! Tel est le bilan, brut, du travail acharné et bien léché, fourni par le flanker tricolore face aux All Blacks. Sans parler de cet essai, déterminant qui a permis aux Français de revenir dans le match et de trouver ainsi les ressources pour éliminer les Néo-Zélandais.


L'histoire a donc d'étranges raccourcis. Il y a onze mois, Thierry Dusautoir a payé cher la déroute française, en test match, face aux All Blacks 47-3. En ce jour de novembre 2006, le 3e ligne toulousain s'est pris les pieds dans la pelouse de Gerland. Remplacé par Martin, en cours de match, Dusautoir est alors montré du doigt, mis au placard par le sélectionneur. Et puis, Vermeulen n'a pu honorer sa convocation en équipe de France et Bernard Laporte a rappelé le ''Fidjien'' comme le surnomment ses équipiers.


« Là, ils ont payé»

Samedi, sur la pelouse de Cardiff, Dusautoir, né à Abidjan il y a 25 ans, a tout simplement crevé l'écran. 29 plaquages réussis - du jamais vu à ce niveau - 4 ballons joués et pas un de perdu, et une activité défensive inlassable qui a laissé des traces côté néo-zélandais. Collins a d'ailleurs fait les frais d'un énorme plaquage en début de rencontre. « Là, ils ont payé ce qu'ils m'ont fait l'année dernière. J'espère que cette fois on ne va pas dire que j'ai été nul », lâche un Dusautoir serein et ragaillardi. Non seulement il n'a pas été nul mais tous ses équipiers à commencer par Dimitri Szarzewski ont salué sa prestation. « En première mi-temps, il a été le seul au dessus-du lot. Il a mis des essais destructeurs, a récupéré des ballons et marqué un essai décisif. Et dire qu'il n'était pas sélectionné. C'est le destin. On est bien contents de l'avoir avec nous ».


Comme ses équipiers, Thierry Dusautoir regarde déjà devant. Vers les demi-finales et le Stade de France, où les Bleus défieront les Anglais. Pas question de faire de ce quart de finale, une finale avant la lettre. «Je ne veux pas sacraliser cette victoire, je ne veux pas tout lâcher dans cette soirée », insiste le flanker de l'équipe de France. D'autres défis se présentent à lui. Et le premier ce sera samedi au Stade de France, face à l'Angleterre. « Il reste encore deux matches si nous voulons atteindre notre véritable objectif avec en première ligne un match face aux Anglais qui sera sans doute aussi, si ce n'est plus, difficile que les Blacks. Il ne faut pas reproduire la même erreur que celle commise face aux Argentins. » Et Thierry Dusautoir sait retenir les leçons.


réaction du journale l'équipe pour le future face a face de angleter france


Les Bleus ont commencé par céder face à l'Argentine puis se sont repris pour enfin se qualifier dans la douleur contre la Nouvelle-Zélande. Et ils sont souffert contre les Blacks, c'est le moins que l'on puisse dire. Mais au prix d'une défense héroïque, les joueurs français ont fini par l'emporter au courage, à l'abnégation et surtout grâce à une discipline de fer. Un peu comme les Anglais du reste. Les Britanniques ont beaucoup déçu dans les premiers matches de la compétition, s'inclinant notamment lourdement contre l'Afrique du Sud (0-36). On croyait alors les champions du monde 2003 incapables de pouvoir défendre leur titre. A tort. Car les coéquipiers de Jonny Wilkinson ont su relever la tête au moment adéquat. Au meilleur moment. En quarts de finale pour créer la surprise et éliminer des Australiens naïfs et incrédules. Non sans avoir soufferts eux aussi bien sûr. Mais le sport n'est-il pas fait de joie et de souffrance ? Comme le titre le cahier spécial Coupe du monde mardi dans L'Equipe : «Il faut savoir souffrir», sous-entendu pour gagner.


Le quotidien revient en effet sur le premier mois de compétition chaotique des enemis intimes britanniques et tricolores. Un parallèle qui ne trompe pas. Les deux équipes, moribondes en phase de poules, ont toutes deux su faire front en quarts de finale pour se retrouver samedi prochain opposées dans le dernier carré. Stratégie payante ? Simple coïncidence ? Ou peut-être est-ce aussi du pur masochisme ? Qui pousserait Anglais et Français à passer par une phase de souffrance intense pour mieux ensuite se libérer... Destin croisé de deux formations que tout oppose mais qui se ressemblent finalement cruellement.


Mais quel meilleur moyen pour vérifier cette hypothèse que de s'adresser à un interlocuteur directement concerné ? Patrick Vieira, captaine de l'équipe de France de football revient en page 14 sur le parcours des Bleus au Mondial 2006. Là aussi, ceux-ci avaient souffert dans la première phase avant de finir en apothéose. Décidément, il ne faudrait pas que cela devienne une habitude. Ou plutôt si, puisque cela semble fonctionner ! «Ne changez rien», confirme le joueur de l'Inter Milan.


Un peu plus loin, Xavier Audebert raconte le retour de la délégation française dans l'hexagone. «Bienvenue à la maison» lui lance-t-il. Comme un cri du coeur, toute la France salue ses héros. Un dévoir auquel Christian Clavier, amateur de beau jeu et supporter en puissance des Bleus ne déroge pas. Présent à Cardiff samedi dernier, l'acteur raconte sa fabuleuse expérience. «Exceptionnel !»


Et bien d'autres choses encore comme ce mea culpa de la presse néo-zélandaise à l'égard de l'équipe de France qu'elle voyait déjà éliminée avant même d'avoir joué. «I'm sorry France», titre la page internationale : tout un symbole.
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